Gaston Courtois

GASTON COURTOIS


 21 Novembre 1897 -   22 septembre 1970


Gaston Courtois est né le 21 novembre 1897, à Paris. Son père est commandant dans la marine marchande. La mère de Gaston Courtois, est d'origine alsacienne.

Gaston Courtois intègre le lycée Louis-le-Grand.

Il effectue des études de lettres à la Sorbonne, puis étudie la psychologie à l’Institut catholique de Paris.

Avant de s’engager au combat durant la Première Guerre mondiale, il devient le responsable du patronage Saint-Gervais, et encadre une colonie de vacances.

Première Guerre mondiale

En 1915, Gaston Courtois s’engage volontairement dans l’artillerie. Il participe aux batailles de Verdun, de l’Argonne, de la Somme et du Chemin des Dames. Il est grièvement blessé en 1917, entraînant sa démobilisation.

Vie religieuse

Gaston Courtois entre au séminaire Saint-Sulpice d’Issy-les-Moulineaux en 1919.

Il est ordonné prêtre en 1925.

D’abord prêtre à la chapelle Notre-Dame d’Espérance, à Paris, il fonde un Groupe d’entr’aide sacerdotale réunissant des prêtres parisiens, afin qu’ils aient une réflexion commune sur leur ministère et partagent des temps de prière.

 Il est également à l’initiative, avec le Père Georges Guérin, d’une des premières sections de Jeunesse ouvrière chrétienne de France, en 1927. 

Engagement actif en faveur de l'enfance

Dès sa jeunesse, Gaston Courtois agit en faveur des enfants, notamment à-travers les patronages.

Gaston Courtois est l’auteur de plus d'une centaine de livres, qu’il s’agisse de recueils de maximes, ouvrages pour enfants ou sur l'éducation

En 1929, Gaston Courtois est nommé secrétaire de l'Union des œuvres catholiques de France. Il fonde le journal Cœurs Vaillants, puis le mouvement des Cœurs Vaillants-Âmes Vaillantes.

Il devient procureur général des Fils de la Charité en 1955.

À cette fin, il réside à Rome, où il décède en 1970.


En plus de ses fonctions au sein des Fils de la Charité et de l'Union des œuvres catholiques de France,

 Gaston Courtois est nommé prélat de l’Église catholique orientale en 1954. À partir de 1959, il est secrétaire de l’Union Pontificale missionnaire du clergé, où il fonde la revue Omnis terra.

Gaston Courtois horizon-spirituel.com

Il était souvent dans sa chapelle avec un cahier sur les genoux et il écrivait "comme sous la dictée" de Jésus. 

Pourquoi donc cet homme, prêtre dévouée à la jeunesse se trouve-t-il au rang des saints visités pas JESUS sur cette page ?

Pour son livre :

"LORSQUE LE SEIGNEUR PARLE AU COEUR"

édité chez Médiaspaul


Car assurément ces courts textes ne peuvent avoir été inspirés  que par JESUS Lui-même

Ses familiers affirment qu'on le trouvait souvent à l'église, simplement assis dans une travée avec un cahier sur les genoux

 à noter ce qui lui était inspiré.

C'est dans ses jeunes années que Gaston Courtois entretient une  certaine amitié avec JESUS.

Il a accomplis un énorme travail pour la jeunesse,

mais qui n'empêchait pas son besoin de prière profonde de s'accomplir.

il a publié plusieurs livres qui témoignent de ce dialogue avec notre Seigneur :

Ainsi, VIE INTERIEURE, 

 ECOUTE DU SEIGNEUR,

COEUR A COEUR AVEC JESUS,

FACE AU SEIGNEUR

témoignent de son activité pastorale ardente


Nous vous invitons à découvrir ses ouvrages très riches qui vous rendront JESUS plus proche.

Voici la Prière "Les Dix Commandements de la Joie" qu'il a rédigé, et publié dans le journal Cœurs Vaillants destiné aux garçons de 8 à 14 ans.
 
La joie à Dieu demanderas
Chaque matin fidèlement.
 
Calme et sourire montreras,
Même en cas de désagrément.
 
En ton cœur, tu te rediras :
« Dieu qui m'aime est toujours présent ».
 
Sans cesse, tu t'appliqueras
À voir le bon côté des gens.
 
La tristesse tu banniras
De toi impitoyablement.
 
Plainte et critique éviteras ;
Il n'est rien de plus déprimant.
 
À ton travail tu t'emploieras
D'un cœur joyeux allègrement.
 
Aux visiteurs réserveras
Un accueil bienveillant.
 
Les souffrants réconforteras
En t'oubliant totalement.
 
En répandant partout la joie,
Tu l'auras pour toi sûrement ».
 
Ainsi soit-il.

JESUS lui susurrait au cœur :


Oui, parle-moi avec spontanéité de tout ce qui te préoccupe. Je laisse une large part à ton initiative. Ne crois pas que ce qui te concerne peut me laisser indifférent puisque tu es quelque chose de Moi. L'essentiel pour toi, c'est de ne pas m'oublier, de t'adresser à Moi avec tout l'amour et toute la confiance dont tu es actuellement capable.


Il faut les plaindre ceux qui ne m'entendent jamais et qui se dessèchent lamentablement. Ah ! S'ils venaient à Moi avec une âme de petit enfant !

"Je te rends grâce, ô Père de ce que tu as caché ces choses aux orgueilleux et de ce que tu les as révélées aux petits et aux humbles". Si quelqu'un se sent petit, qu'il vienne à moi et qu'il boive. Oui, qu'il boive le lait de ma pensée.


ou


 Appelle-moi au secours, doucement, calmement, amoureusement. Ne crois pas que je sois insensible aux délicatesses de l'affection.

Oui, tu m'aimes : mais prouve le Moi davantage.

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