1° - dévotion à la Vierge Marie.
2° - Confession (elle lave les péchés, elle fortifie l'aide justement dans les points faibles, là où elle a fauté ! Une fois par semaine, la confession a un effet d'exorcisme), messes, communion. Encore faut-il avoir été baptisé pour pouvoir y participer.
3° - la prière et la vigilance
4° - Dévotion à la Croix
5° - Dévotion à St Michel et à l'ange Gardien
Le diable et le péché
Le démon travaille en vue de faire cacher quelque péché grave en Confession.
(La Confession est un sacrement que Jésus a donné à Ses apôtres. Pour bénéficier de ce sacrement, il faut être baptisé. Et venir à la Confession avec un coeur sincère).
Saint Antonin, Evêque de Florence, vit un jour le Diable près du confessionnal et se prit à lui dire : "Que fais-tu ici ?"
- Je fais la restitution.
- Que veux-tu dire par là ?
- à ceux qui viennent se confesser, je restitue la honte et la peur afin qu'ils ne dévoilent pas certains péchés. Dans l'acte de pêcher, j'enlève la honte à mes serviteurs : au moment de se confesser, je la leur rends.
Karl Marx écrivait des poèmes de Marx à la gloire de Satan
Karl Marx écrivait des poèmes au diable !
Si, si !
Karl Marx faisait parti d'une secte satanique, sa nouvelle religion "le communiste y est né..."
"L'abolition de la religion en tant que bonheur illusoire du peuple est l'exigence que formule son bonheur réel. Exiger qu'il renonce aux illusions sur sa situation, c'est exiger qu'il renonce à une situation qui a besoin d'illusions. La critique de la religion est donc en germe la critique de cette vallée de larmes dont la religion est le halo."
Karl Marx dans "Introduction à la critique de la philosophie du Droit" de son ami Hegel
Attention, les textes qui suivent ne sont pas une blague et ne sont que quelques passages de textes blasphématoires écrits par Marx durant sa vie, y compris à l'époque où il se déclarait de confession catholique. Dans sa prime jeunesse Marx se disait chrétien, par opposition à la religion de sa famille dont le nom fut porté par d'illustres rabbins. Sa foi se transforma en haine de l'élément Divin. Les lignes que vous allez lire révélent surtout une folie qui s'empara de lui. Elles expliquent bien des choses sur ce personnage controversé. Ces textes sont principalement disponibles en anglais et en allemand, les traductions en langue française se font rares, on peut toutefois en glaner quelques passages dans diverses biographies :
Invocation d'un désespéré
"Ainsi un dieu m'a arraché "mon tout"
Dans les malédictions et dans les coups du sort.
Tous ses mondes se sont évanouis
Sans espoir de retour,
Et il ne me reste plus désormais que la vengeance.
Je veux me bâtir un trône dans les hauteurs,
Son sommet sera glacial et gigantesque,
Il aura pour rempart la terreur de la superstition,
Pour maréchal, la plus sombre agonie.
Quiconque porte vers ce trône un regard sain,
Le détournera, pâle et muet comme la mort
Tombé entre les griffes d'une mortalité aveugle et frissonnante.
Puisse son bonheur creuser sa tombe !."
Karl Marx, Morceaux choisis, Vol. 1
- International Publisher, 1974
Pour celui qui connaît bien la religion, il reconnaîtra la référence à Isaïe 14:13 dans lequel Lucifer dit : "J'escaladerai les cieux ; plus haut que les étoiles de Dieu j'érigerai mon trône"
Le ménestrel : "Les vapeurs infernales me montent au cerveau
Et le remplissent jusqu'à ce que je devienne fou
Et que mon coeur soit complètement changé.
Regarde cette épée : "Le Prince des ténèbres me l'a vendue."
J'ai réussi à te faire croire que Dieu n'existe pas, c'est que j'ai plus d'intelligence que toi. Tu as marché sans voir. Tu as regardé et tu as dit : "Je crois que les montres marchent toutes seules et même qu'elles se fabriquent toutes seules. Et moi faut-il que j'ai de la force de caractère pour ne pas rugir et pour me contenter d'attendre le jour où tu seras bien obligé de comprendre. Ce jour-là tu me maudiras et moi je rirai, car on s'amuse aussi en enfer sais-tu ? On s'amuse prodigieusement chaque fois que l'un d'entre vous crie : "Pourquoi m'as-tu trompé ?" Pourquoi ?
Les tactiques du diable :
Alors que le Padre Pio était au confessionnal, un étranger grand, mince, élégant et bien habillé, qui avait manifestement de très bonnes manières, s'agenouilla devant lui.
Le Padre Pio demanda à l’homme de confesser ses péchés. Mais très vite cette confession prit une tournure étrange.
Laissons la parole au Padre Pio : « Sa confession était une accumulation des pires péchés de toutes sortes, contre Dieu, contre son prochain et contre la morale. Je le réprimandais sévèrement en usant des mots de Dieu Lui-même, ainsi que de l'enseignement moral de l'Eglise et des saints. »
Mais cet homme énigmatique me répondait en contrebalançant tout ce que je lui disais et en se justifiant avec une grande habileté et intelligence mais aussi avec une grande gentillesse. Il arrivait à vider ses fautes de leur malice, les rendant presque insignifiantes, naturelles, humainement neutres. Et cela à propos des péchés les plus horribles contre Dieu, Jésus, Notre Dame et les saints...
Je me demandais qui il était et d'où il pouvait bien venir... J'observai son visage et ses paroles pour essayer d'en percer le mystère. C'est quelque instant avant la fin de la confession alors que j'envisageai de ne pas lui donner l'absolution que je me suis rendu compte qu'il s'agissait du diable.
Mais mon pauvre ami, je ne t'ai pas trompé.
Je hais, la haine c'est aussi de la Foi, et vois-tu la plus grande preuve de l'existence de Dieu, c'est la haine que je Lui porte et que je suscite dans le monde sans une minute de répit.
La plus grande preuve de l'existence de Dieu, c'est moi Lucifer qui la donne au monde mais le monde ne le voit pas. Si le monde réfléchissait quelques minutes tous les jours, j'aurais vite perdu la partie, mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir.
Ce qui fait ma force actuellement, ce sont vos pendules et vos horaires. Comme vous ne pouvez pas vous passer de servir un dieu, car telle est votre raison d'être, je vous en ai donné d'autres : le travail et la production. Des casseroles et des baignoires, on ne peut pas dire que vous n'en fabriquiez pas. Arrive toujours un jour où vous ne savez plus quoi en faire (je vous souffle alors qu'une petite guerre permettrait de mieux servir le dieu-travail) mais l'essentiel est pour moi que vous n'ayez pas eu le temps de réfléchir.
Je me complais dans votre agitation, j'aime le bruit car Dieu préfère le silence.
Je trouve plus de joie dans les crimes de l'intelligence que dans les autres. Que la chair soit faible, chacun le savait et au fond ce n'était pas toujours très grave, la haine seule est grave et les péchés de la chair ont rarement la haine pour moteur. Mais les péchés de l'intelligence et les péchés de l'âme (cette puissance d'origine céleste) voilà ce qui peut me faire jubiler moi l'ancien Archange.
Etre doué d'une si grande force et s'en servir contre son Auteur, voilà un jeu qui console de bien des désespoirs.
Jésus dicte :
"Je regarde mon troupeau... Est-il à Moi ? Plus maintenant. Vous étiez mes petites brebis mais vous avez quitté mes pâturages.
Une fois sortis, vous avez trouvé le malin qui vous a séduits et vous ne vous êtes plus souvenus que c'est au prix de mon Sang que je vous avais rassemblés et sauvés des loups et des mercenaires qui voulaient vous tuer.
C'est Moi qui suis mort pour vous, pour vous donner la vie et la pleine vie comme celle que j'ai dans le Père.
Et vous, vous avez préféré la mort. Vous vous êtes placés sous le signe du Malin et il vous a transformés en boucs sauvages. Je n'ai plus de troupeau. Le Pasteur pleure.
Il ne me reste que quelques agneaux fidèles, prêts à tendre le cou au couteau du sacrificateur afin de mêler leur sang, non pas innocent mais aimant, à mon propre Sang très innocent et de remplir le calice qui sera levé au dernier jour, pour la dernière messe avant que vous ne soyez appelé au terrible Jugement.
Grâce à ce Sang et à ces autres sangs, je pourrais récolter ma dernière moisson parmi les derniers à être sauvés.
Tous les autres... Ils serviront de litière pour le repos des démons et de ramille pour le feu éternel.
Persévérez, vous qui m'aimez. Ce lieu mérite bien tous vos présents efforts car c'est une zone des co-rédempteurs, à la tête desquels se trouve Marie, ma Mère.
Les Cahiers de 1943
1er Juin
De Maria VALTORTA
Le démon ne dit jamais : "Assez. Maintenant, je suis fatigué et je me repose".
Il n'y a pas de limite pour le travail de l'apôtre, car le travail du Mal ne connaît pas de limites.
Le démon ne dit jamais : "Assez. Maintenant, je suis fatigué et je me repose".
Lui, il est inlassable. Il passe, agile comme la pensée et plus encore, d'un homme à un autre. Il essaie, il attaque, il séduit, il tourmente, il n'accorde aucun répit. Il assaille traîtreusement et il abat, si l'on n'est pas plus que vigilant. Parfois, il s'installe en conquérant à cause de la faiblesse de celui qu'il assaille. D'autre fois, il entre en ami, parce que la manière de vivre de la proie qu'il recherche est déjà telle qu'elle est une alliance avec l'Ennemi. Une autre fois, chassé par quelqu'un, il cherche et tombe sur une proie plus facile, pour se venger de l'échec que lui a fait subir Dieu ou un serviteur de Dieu.
Mais vous, vous devez dire ce que lui dit : "Pour moi, pas de repos". Lui ne se repose pas pour peupler l'enfer. Vous ne devez pas vous reposer afin de peupler le Paradis. Ne lui donnez pas de répit. Je vous prédis que plus vous le combattrez, plus il vous fera souffrir, mais vous ne devez pas en tenir compte.
Lui peut parcourir la terre, mais il n'entre pas dans le Ciel. Là, il ne vous causera plus d'ennuis. Et là seront tous ceux qui l'auront combattu..."
Extrait de l'EVANGILE TEL QU'IL M'A ETE REVELE
de Maria VALTORTA, 5e tome, page 276
pour lire plus sur Maria VALTORTA, cliquer :
La Bienheureuse Anna-Maria TAÏGI
Don Bosco et le diable
Don Bosco le Saint des adolescents et des enfants raconte cette vision :
Don Bosco relate encore un autre évènement : "il confessait un soir dans le chœur de l'église de Saint François de Sales à Turin. Nombreux étaient les jeunes gens rassemblés là, qui attendaient leur tour. Un jeune homme se présenta pour se confesser. Celui-ci après avoir accusé plusieurs péchés, s'interrompit.
- en avant ! dit Don Bosco qui lisait dans la conscience des pénitents. Y a-t-il autre chose ?
- Plus rien Père !
- ne crains pas, mon fils le confesseur ne gronde pas, ne punit pas : courage... confesse-toi bien.
- Je n'ai plus rien à dire.
- mais pourquoi veux-tu par une confession sacrilège, faire rire le démon ?
Le démon en effet lui avait fait commettre un péché grave et l'empêchait de le confesser. Il était vraiment là, le Malin sous forme sensible sous les apparences d'un gros singe aux yeux de feu.
- donc poursuivit Don Bosco, tu ne veux pas confesser ce péché ? Et bien, regarde un peu qui tu as derrière le dos !
Le jeune homme se retourna et poussa un grand cri en apercevant ce gros singe. Aussitôt il confessa son péché .
Extrait du livret de Dom Joseph Tomaselli
les anges rebelles
"Je me trouvai, près de la porte de ma chambre et tandis que je sortais, tout à coup, je regardai tout autour et me trouvai à l'église, au milieu d'une foule de jeunes gens. Ils ne priaient pas, mais paraissaient se préparer à la Confession. Je m'assis au confessionnal ; mais bien vite, voyant tant de jeunes gens, je me levai pour regarder s'il n'y avait pas d'autres confesseurs qui me pussent aider. Ne voyant personne, je m'acheminai vers la sacristie pour demander quelque prêtre. Et voici que j'aperçus ici et là des jeunes gens qui avaient une corde au cou, laquelle leur serrait la gorge.
Pourquoi cette corde ? Demandai-je. Enlevez-la !
Un jeune homme me répondit : "Je ne puis l'enlever, il y a quelqu'un derrière qui la tient".
Je tournai alors les yeux avec une plus grande attention vers cette multitude de jeunes gens et il me sembla voir pointer derrière les épaules de beaucoup d'entre eux, deux très longues cornes.
Je m'approchai pour mieux voir : j'aperçus une vilaine bête ayant la forme d'un gros chat, avec de longues cornes, qui serrait un nœud coulant. J'interrogeai ce vilain animal et lui, se dissimulait encore davantage. Je dis alors à un jeune homme "va à la sacristie et demande à Don Merlone qu'il te donne le petit seau de l'eau bénite !"
Le jeune homme revint bien vite. Je pris le goupillon et demandai à l'un de ces gros chats : "Qui es-tu ?"
L'animal qui m'examinait ouvrit la gueule, sortit la langue et ensuite se mit à montrer les dents, prêt à se jeter sur moi.
- dis-moi vite : que fais-tu ici ?... Déchaine-toi comme il te plait : je ne te crains pas !
Le monstre commença à se tortiller : je le considérai attentivement et je vis qu'il avait en main divers lacets. "Allons que fais-tu ici ?" Et je levai le goupillon. Il voulu fuir alors.
"Ne t'enfuis pas, demeure ici : je te l'ordonne!..."
La bête grogna et regarda, j'ajoutai : "'que sont ces trois nœuds coulants ? Que signifient-ils ?"
Il me répondit : Tu l'ignores ? En me tenant ici avec des trois lacets, je serre les jeunes gens afin qu'ils se confessent mal, avec ces lacets je conduis beaucoup, beaucoup d'âmes en enfer.
Et de quelle manière ?
- oh je ne veux pas te le dire. Tu le révèlerais aux jeunes gens !
Je veux savoir ce que sont ces trois lacets ! Parle sinon je t'asperge d'eau bénite !
Le monstre, se tordant épouvantablement répondit : "Le premier nœud avec lequel je serre ce lacet c'est de faire taire aux jeunes gens leurs péchés en confession.
Et le second ?
- Le second est de les pousser à se confesser sans contrition !
Et le troisième ?
- Je ne veux pas te le dire
- Tu ne veux pas me le dire ? Je t'asperge tout de suite de cette eau bénite !
- Non, non je ne parlerai pas!
Et il se mit à crier fort : Et comment ? Cela ne te suffit pas ? J'en ai déjà trop dit ! Et il recommença à s'emporter.
- Et moi, je veux que tu le dises pour en référer aux directeurs de mes institutions ! Et renouvelant la menace, je levai le bras avec le goupillon. Alors des flammes sortirent de ses yeux, puis quelques gouttes de sang et il dit : Le troisième est de ne pas faire de ferme propos et de ne pas suivre les avis du Confesseur.
Tandis que je voulais demander d'autres choses et lui intimai l'ordre de me révéler de quelles manière on pourrait remédier à un si grand mal, tous les autres horribles chats qui jusqu'alors s'étaient ingéniés à rester cachés commencèrent à crier à s'en prendre à celui qui avait parlé ; ils déclenchèrent un soulèvement général. Voyant cette confusion, je jetai l'eau bénite sur le gros chat qui avait parlé et je lui dis : "Maintenant, va !" et il disparut. Alors tous ces monstres s'enfuirent.
Extrait du livret de Dom Joseph Tomaselli
les anges rebelles
Les méfaits de Satan dans la vie de Gemma Galgani
Satan persécute Soeur Josefa Ménendez dans sa cellule
Discours de Satan lors d'une réunion mondiale des démons.
Un défi séculaire eu lieu entre l'Eternel et Satan
Et l'Eternel a répondu au Maudit :
Satan vous dresse des embûches
"Dans toutes ces histoires-là, ce qui amusait le plus Lucifer, c'était la profonde stupidité humaine. Pour satisfaire sa haine, il jouait de cette stupidité avec aisance, mais devait bien souvent serrer les lèvres pour ne pas crier à ses serviteurs :
"Ta première grande surprise quant tu seras auprès de moi sera de constater que moi j'ai la Foi. Moi, je crois en Dieu, moi je l'ai vu, moi je le connais, moi je ne l'oublierai jamais. Oui moi Lucifer, je crois en Dieu et maintenant pleure car tu ne le verras jamais. Jamais comprends-tu ? Pleure, car tes larmes soulagent mon désespoir. Pleure, je n'ai pas d'autre joie.
Mais mon pauvre ami, je ne t'ai pas trompé. Je hais, la haine c'est aussi de la Foi, et vois-tu la plus grande preuve de l'existence de Dieu, c'est la haine que je Lui porte et que je suscite dans le monde sans une minute de répit.
La plus grande preuve de l'existence de Dieu, c'est moi Lucifer qui la donne au monde mais le monde ne le voit pas. Si le monde réfléchissait quelques minutes tous les jours, j'aurais vite perdu la partie, mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir.
Ce qui fait ma force actuellement, c e sont vos pendules et vos horaires. Comme vous ne pouvez pas vous passer de servir un dieu, car telle est votre raison d'être, je vous en ai donné d'autres : le travail et la production. Des casseroles et des baignoires, on ne peut pas dire que vous n'en fabriquiez pas. Arrive toujours un jour où vous ne savez plus quoi en faire (je vous souffle alors qu'une petite guerre permettrait de mieux servir le dieu-travail) mais l'essentiel est pour moi que vous n'ayez pas eu le temps de réfléchir. Je me complais dans votre agitation, j'aime le bruit car Dieu préfère le silence.
Je trouve plus de joie dans les crimes de l'intelligence que dans les autres. Que la chair soit faible, chacun le savait et au fond ce n'était pas toujours très grave, la haine seule est grave et les péchés de la chair ont rarement la haine pour moteur. Mais les péchés de l'intelligence et les péchés de l'âme (cette puissance d'origine céleste) voilà ce qui peut me faire jubiler moi l'ancien Archange. Etre doué d'une si grande force et s'en servir contre son Auteur, voilà un jeu qui console de bien des désespoirs.
Il existe un domaine aussi délicat que réel qui est celui de l'action du Démon
sur le monde et les personnes. Jésus en parle fréquemment dans les Evangiles, nous le trouvons plongé dans la lutte contre Satan et ses pouvoirs qui dominent le monde.
Le Père Lamy raconte la rencontre de Satan et Marie dans son église
Pour faire fuir Satan, cette prière qu'il ne supporte pas.
L'homme est un être libre
Il est juste que le Seigneur voile Sa gloire
PAR LES MENSONGES REPANDUS PAR L'ISLAM,